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La pandémie de coronavirus fait d’énormes dégâts dans le monde économique . Une vague de licenciements voit le jour et notre région n’est malheureusement pas épargnée. Le cas de l’usine Bridgestone Aircraft, installée à Frameries, active dans le secteur aéronautique, est assez emblématique. En effet, alors que cette entreprise était particulièrement florissante avant la crise, elle vient d’annoncer le futur licenciement de 18 travailleurs et deux sous-traitants. Il est clair que son activité reprendra certainement dès la fin de la crise sanitaire qui touche de plein fouet le secteur aéronautique. Dans cette attente, il faut tout mettre en œuvre pour préserver les emplois menacés. Je vais dès lors interpeller le Vice-premier et Ministre de l’Emploi, Pierre-Yves Dermagne, pour lui demander le prolongement du chômage « corona » jusqu’en 2022 pour les entreprises impactées de plein fouet par la crise du coronavirus. Cette mesure permettrait de maintenir l’emploi malgré l’arrêt de l’activité. Dans la mesure où la crise frappe différemment les entreprises au sein d’un même secteur, je vais également relayer la proposition des représentants syndicaux qui souhaitent que le système d’aides ne soit plus octroyé sur base d’une approche purement sectorielle. Concrètement , les aides devraient être mieux ciblées et accordées en se basant sur les données de l’Onem et de l’utilisation du chômage « corona » de chaque entreprise , entre mars 2020 et décembre 2021. Dans le cas de Bridgestone à Frameries, cela permettrait aussi aux représentants syndicaux de limiter les pertes d’emploi et d’avoir un outil supplémentaire majeur pour éviter de devoir négocier à la baisse les conditions salariales des travailleurs. La crise sanitaire que nous traversons a mis en lumière le rôle essentiel joué par de nombreux acteurs de notre société. Au même titre que le personnel soignant et nos forces de police, les pompiers-ambulanciers sont certainement exposés à des risques accrus et à des efforts inhabituellement intenses. À l’instar de ce qui est fait pour d’autres corps de métiers, il me semble logique que le fédéral reconnaisse et récompense leurs efforts. J’ai donc interrogé la Ministre de l’Intérieur pour lui demander une valorisation de leur statut au cours de la législature et le financement d’une prime de soutien. Dans sa réponse, la Ministre m’a confirmé qu’une demande de revalorisation des pompiers-ambulanciers et des ambulanciers des zones de secours était mise sur la table par les organisations syndicales. Cependant, elle n’a donné aucune promesse d’octroi d’une prime de soutien. Elle a ainsi précisé qu’ « elle préférerait investir d’une manière structurelle au niveau de la police et des autres services de secours plutôt que de donner une prime unique. » Il s’agit d’une réponse qui me laisse sur ma faim, mais qui ouvre la porte à une valorisation sur le long terme de leur statut. Dès lors, je serai attentif à ce que cet engagement soit respecté par la Ministre de l’Intérieur dans les mois à venir. Pour votre information, je vous joins le compte-rendu de la commission Intérieur avec la réponse complète de la Ministre. La Ministre de l’Intérieur, Annelies VERLINDEN, m’a confirmé en commission ce matin le déblocage de 25 millions d’euros au bénéfice des Zones de Secours du pays dans le budget fédéral de 2021. Le montant total des dotations fédérales aux zones de secours passera ainsi de 152.063.000 à 177.063.000 euros, soit une augmentation de plus de 16%. C’est une rupture claire par rapport à la politique menée par le précédent gouvernement qui avait commencé sa législature en imposant des économies dans bon nombre de départements liés à la sécurité.
Cette augmentation reflète la volonté exprimée dans l’accord de gouvernement de tendre vers un financement équilibré des services incendies entre le fédéral et les pouvoirs locaux. 5
Dans le cas de la Zone de Secours Hainaut Centre que je préside, la dotation fédérale actuelle est de 7.874.045 euros alors que les communes et la province de Hainaut contribuent ensemble à concurrence de 31.513.345 euros. On est encore loin du financement paritaire 50/50 expressément prévu par la loi du 15 mai 2007 réformant la sécurité civile.
Je me réjouis donc de cette nouvelle. Cependant, je plaiderai à la Chambre, pour que le fédéral poursuive cet objectif de juste refinancement des Zones de Secours tout au long de la législature.
Ce dernier n’est, en effet, à l’heure qu’une fois sur trois et occasionne de gros désagréments aux navetteurs qui l’utilisent pour se rendre sur leur lieu de travail ou à l’école.
Dans sa réponse, le Ministre reconnaît que « le train auquel il est fait allusion nous pose un problème particulier. » Il enregistre, selon lui, « une bonne ponctualité de 95,2 % de Quévy à Braine-le-Comte, mais celle-ci baisse considérablement, atteignant 60,2 % entre Braine-le-Comte et Bruxelles-Nord. La raison de cette différence est le trafic très dense entre Halle et Bruxelles-Midi, trajet pour lequel le moindre retard provoque un effet boule de neige. »
Sur les solutions envisagées pour y remédier, le Ministre me répond que « l’amélioration de la ponctualité globale de la ligne passe par une refonte du plan de transport. Des analyses sont en cours à la SNCB pour dégager une solution. Le parcours du train est inséré dans plusieurs relations fixes, donc très difficiles à modifier. » Ajoutant que « dans l’attente d’une solution définitive, le train fait l’objet d’un programme spécifique d’analyse et de suivi. »
Ce qui est clair, c’est que la réponse du Ministre confirme l’existence d’un sacré décalage entre la communication optimiste de la SNCB au sujet de l’amélioration de la ponctualité et la réalité vécue par des navetteurs excédés par les retards trop fréquents aux heures de pointe !
Des solutions concrètes doivent être trouvées. Il y a urgence ! Je ne manquerai pas de le rappeler autant que possible à la Chambre des représentants auprès du Ministre Bellot.
]]>Dans son rapport, Navetteurs.be révèle ainsi que ce dernier n’est à l’heure « qu’une fois sur trois » et que la ponctualité, sur l’ensemble des heures de pointe sur cette ligne, n’est que de 73,3 % !
Ce sont des chiffres interpellants, mais surtout très éloignés de ceux communiqués par la SNCB. Cette dernière s’est, en effet, récemment vantée des progrès réalisés en 2019 au sujet de la ponctualité. Alors que la réalité ressentie par les navetteurs aux heures pointe entre Mons et Bruxelles est toute autre.
J’interroge dès lors le Ministre de la Mobilité, François Bellot, afin de lui demander des explications quant à cette communication de la SNCB fort peu représentative du vécu des navetteurs. Je demande que la SNCB avance des solutions pour mettre fin aux retards trop fréquents dont sont victimes les navetteurs du train Mons-Bruxelles de 7h35.
Il n’est en effet pas acceptable que les travailleurs se rendant de Quevy, Quiévrain, Mons vers Bruxelles aux heures de pointe soient en retard si souvent !
]]>Dans mon intervention, j’ ai revendiqué une valorisation du cadre, l’engagement d’agents supplémentaires et le financement des travaux de rénovation du bâtiment.
Dans sa réponse, le Ministre de la Justice m’a indiqué qu’un plan de rénovation de l’infrastructure était en cours d’analyse. Il m’a confirmé que des travaux spécifiques étaient programmés sur deux années pour restaurer plusieurs cellules.
Au niveau du renfort en personnel, le Ministre m’a répondu que des engagements sous contrat « Rosetta » seront faits pour compenser la pénurie actuelle d’agents pénitentiaires, sans m’en préciser le nombre, ni le délai .
Enfin, un plan d’action a été annoncé , avec l’intermédiaire d’une entreprise spécialisée, pour éliminer les punaises et procéder à un nettoyage des cellules .
Face aux difficultés rencontrées par les agents pénitentiaires sur place, je me suis aussi rendu à la prison de Mons pour soutenir le personnel et m’assurer du suivi des annonces faites par le Ministre de la Justice.
Durant ma visite, j’ai pû me rendre compte de l’état désastreux du bâtiment et des conditions inacceptables dans lesquelles travaillent les agents et sont hébergés les prisonniers. En sous effectifs, mais surpeuplée, la prison de Mons nécessiterait une rénovation aussi urgente que coûteuse. C’est la raison pour laquelle je soutiens l’idée de construire une nouvelle prison !
]]>En commission Intérieur de la Chambre, j’ai interrogé le Ministre De Crem au sujet du flou régnant autour des conditions du transfert, autour des missions reprises par la protection civile et autour des conditions de travail du personnel. La question du temps d’intervention nécessaire au départ des casernes reste aussi un sujet de préoccupation central pour tous les acteurs concernés.
Il est primordial qu’une évaluation de la réforme soit faite le plus vite possible, sans attendre qu’un incident majeur ne survienne sur un site SEVESO.
Je plaide aussi en faveur du maintien d’un poste avancé sur le site de Ghlin. En effet, la distance entre la caserne de Crisnée et notre région qui compte de nombreuses entreprises SEVESO, constitue un risque majeur pour notre sécurité.
]]>Une nouvelle fois, comme je l’avais fait pour la police de la route ainsi que la police judiciaire et scientifique du Hainaut, j’ai dénoncé la politique d’austérité menée depuis 2014 par ce gouvernement fédéral contre les services publics, en particulier la police.
La réponse du Ministre qui est loin de me satisfaire. Il indique que le recrutement est difficile et invite le personnel qui souhaite reprendre le travail à se rendre jusque Bruxelles ! Aucune solution à court terme pour engager un médecin de proximité n’est annoncée.
A mes yeux, il s’agit d’une situation fort déplorable étant donné le rôle crucial que joue ce médecin dans le suivi et l’encadrement des policiers dans l’exercice de leurs missions. Lorsque l’on connaît les risques liés à celles-ci, il y a de quoi être inquiet.
C’est la sécurité des policiers et des citoyens qui sont en jeu.
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J’ai dès lors interpellé le Ministre de la Justice à la Chambre pour l’inviter à régler le problème de pénurie de magistrats dont souffre la cour d’appel du Hainaut.
Pratiquement ce manque de personnel a par exemple engendré le report du procès en cour d’assise du Hainaut pour le meurtre de Roisin. Par ailleurs, des magistrats retraités doivent être rappelés.
Il est pour moi urgent de réagir ! Aujourd’hui, la Cour d’appel du Hainaut compte 22 magistrats au lieu de 30, ce qui est bien loin des 80% requis pour un bon fonctionnement.
Dans sa réponse, le Ministre s’est dit conscient de la situation. Il m’a annoncé que « cinq procédures de nomination de nouveaux magistrats étaient en cours et que parmi celles-ci, une première nomination a été signée par le Roi et sera publiée au Moniteur belge ce vendredi. » Il a ajouté que « la dernière procédure de vacance se clôturera au plus tard en avril 2019 et qu’en tenant compte des départs intérimaires, ceci portera, fin avril, à un cadre de vingt-sept effectifs sur trente, à savoir 90 %. »
Cette annonce, certes tardive, démontre que la pression parlementaire porte ses fruits.
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